Monsieur le rapporteur général, madame secrétaire d'État, je ne comprends pas bien votre argumentation. J'y vois plutôt des figures de style – vous oscillez entre la synecdoque et la métonymie. Or, nous ne pouvons pas nous permettre de ne pas distinguer chacun de ces amendements : nous devons prendre chacun pour ce qu'il est. Prendre, comme vous le faites, chaque partie pour le tout n'est pas recevable. Les réductions de TVA que nous proposons portent sur un domaine tout à fait différent de ceux qui ont été évoqués précédemment et vous ne pouvez donc pas opposer les mêmes arguments. Si je puis me permettre ce jeu de mots un peu malheureux, en refusant d'adopter ces amendements, vous aurez un train de retard.