Monsieur le rapporteur général, la situation du logement aujourd'hui est telle que des opérations de promotion sont bloquées, ce qui n'incite pas ceux qui les poursuivent à en lancer de nouvelles. Si nous ne parvenons pas à acheter ce patrimoine avec d'autres formes de financement, les promoteurs garderont leur stock et ne démarreront pas les études pour les logements suivants. C'est la raison pour laquelle je me permets de vous dire que si nous ne prenons pas ce type de mesure, ou d'autres – je ne défendrai pas la chaudière – nous ralentirons les projets. Six mois perdus pour les études, ce sont six mois de retard dans les opérations de construction et de mise en chantier.