Vous me permettrez d'être bref puisque j'ai apporté tout à l'heure une réponse globale à la question des assurances. Là encore, la contribution du secteur assurantiel peut être considérée par certains d'entre vous comme insuffisante, je peux l'entendre. Des engagements ont été pris, les uns ont été tenus, les autres pas encore. Je me suis engagé au début de la crise à suivre de près la question et, depuis, je rends compte à tous ceux qui le souhaitent et à l'occasion de l'examen de chaque projet de loi de finances rectificative. J'en resterai là et donne donc un avis défavorable.