Je sais bien que nous voulons avancer rapidement, mais j'insiste : des entreprises qui produisent de l'énergie seront pénalisées fiscalement parce que leur activité s'est arrêtée. Elles n'y sont pour rien et vous répondez en quelque sorte : ce n'est pas grave, elles n'ont qu'à payer ! La secrétaire d'État ne m'écoute même pas.
Elle a émis un avis défavorable alors que, depuis des mois, on nous explique qu'il faut sauver les entreprises françaises. Ces entreprises-là, vous les taxez, et vous affirmez que c'est normal !