J'entends votre argument, monsieur le secrétaire d'État, mais cet amendement, fruit d'un travail que j'ai mené, avec ma collègue Naïma Moutchou, en concertation avec les services de la chancellerie et de Bercy, ainsi qu'avec l'ensemble des acteurs, notaires comme avocats, dans l'intérêt des familles, a été adopté par la commission. En conséquence je souhaite qu'il soit mis aux voix, d'autant qu'il ne coûterait rien. Je mets donc le destin de cet amendement, qui tend à favoriser la solidarité au moment d'un décès, entre les mains de mes collègues.