Je remercie Jean-Noël Barrot de son propos. Dans ma propre circonscription, il se trouve deux cas de figure : d'un côté, un château qui est ouvert et dont les propriétaires s'échinent à faire en sorte que tout un chacun puisse le visiter ; de l'autre, un château entièrement clos, dont il est même impossible d'apercevoir quoi que ce soit depuis l'extérieur. Or le dispositif fiscal actuel les traite absolument de la même façon. Est-ce logique ?
Je constate, pour le regretter, que ni le rapporteur général ni le secrétaire d'État n'ont même d'arguments à opposer aux miens.