Le secrétaire d'État vient d'évoquer les mesures de droit commun de soutien à la filière du sport, en mentionnant notamment les 3 milliards d'euros. Or les prêts garantis par l'État, le chômage partiel ou le fonds de solidarité gouvernemental concernent les associations sportives employant au moins un salarié ou les clubs sportifs professionnels.
L'amendement vise, lui, un plan de relance spécifique au sport amateur dans nos territoires.