L'amendement vise à étendre la possibilité de bénéficier d'une éventuelle réduction de CFE aux entreprises justifiant d'une perte de leur chiffre d'affaires de 50 % – au lieu de 80 % prévus actuellement – , y compris à celles qui travaillent en amont des secteurs visés.
J'ai défendu devant la commission des finances l'argument que M. Le Fur vient de reprendre brillamment. Dans ma circonscription, deux belles entreprises de grossistes fournissent des bars et des restaurants. Depuis le 15 mars, leur activité a été presque nulle. Elle n'a toujours pas repris. J'aimerais que M. le secrétaire d'État s'exprime sur ce sujet : les entreprises qui travaillent en amont de l'hôtellerie et de la restauration pourront-elles bénéficier d'une exonération de la CFE ?