Nous sommes tous d'accord pour juger l'article 3 bienvenu, mais, puisqu'il reste lacunaire, il est bon que nous comblions ces lacunes.
Monsieur le rapporteur général, vous mettez en avant les problèmes administratifs que poseraient les amendements, mais vous ne semblez pas opposé à leur principe. Or, dès lors que l'idée est pertinente, nous devons insister pour qu'elle s'applique : l'administration doit s'adapter à la volonté politique et à ce qui est bon pour l'économie. Dans le contexte actuel, nous n'avons pas le choix !