Monsieur le ministre de l'économie et des finances, nous sommes effectivement fiers, pour trois raisons.
Premièrement, nous sommes fiers des résultats économiques que nous avions atteints avant la crise du covid-19 : notre taux de croissance était parmi les plus élevés d'Europe ; le taux de chômage avait considérablement baissé ; la France était devenue le premier pays d'accueil des investissements directs étrangers.