Ce débat n'est pas inutile mais il me paraît décalé. La loi de programmation des finances publiques court jusqu'en 2022. Rien ne nous empêche, bien évidemment, comme l'a proposé le président de la commission des finances, de débattre de la question de savoir si nous abordons en position de force ou de faiblesse une crise que personne n'avait prévue. Je reconnais que, du point de vue des finances publiques, notre position est moins bonne que celle de l'Allemagne.