Il vise à développer l'actionnariat salarié. Loin d'être réservé au PLF, celui-ci a tout sa place dans un programme de relance ou de soutien aux entreprises. Premièrement, il repose sur les fonds propres de l'entreprise, et non sur l'endettement. Deuxièmement, les salariés ont actuellement le sentiment de participer au malheur de leur propre entreprise ; il faut donc recréer de la confiance…