Il est défavorable, pour des raisons très proches de celles que j'ai exposées en réponse à l'amendement no 376 défendu par M. de Courson. Il s'agit ici de soustraire des dépenses au calcul des déficits fonciers déductibles du revenu global plutôt que d'en augmenter le plafond, mais c'est bien la même logique qui est à l'oeuvre.