… elles auraient percuté l'élection présidentielle d'une façon qui n'était pas souhaitable. La loi, sous le contrôle du juge constitutionnel, a donc permis l'extension des mandats des maires pendant un an, jusqu'à 2008, le motif d'intérêt général ayant été jugé suffisant pour que soit décalée d'un an l'élection municipale.