Monsieur le Premier ministre, je veux d'abord vous adresser mes félicitations républicaines pour votre réélection à la mairie du Havre, mais – parce qu'il y a un « mais » – vous conviendrez avec moi que l'arbre ne peut pas cacher la forêt.
Jamais un Président de la République n'avait subi un tel revers lors d'élections municipales.