Le groupe Agir ensemble juge en outre utile que vous fassiez connaître votre position relative aux méthodes substitutives à l'expérimentation animale. Quatre-vingt-six pour cent des Français sont favorables à l'interdiction de l'expérimentation animale dès lors que des méthodes substitutives existent. Ne faut-il pas instaurer un droit à l'objection de conscience, déjà mis en oeuvre dans d'autres pays européens en faveur des chercheurs, notamment les plus jeunes, qui refuseraient d'en passer par l'expérimentation animale ? Nous souhaiterions connaître votre agenda en la matière et savoir si ces questions seront inscrites à l'ordre du jour de notre assemblée.