D'un point de vue pratico-pratique, je trouve cet amendement très intéressant. Beaucoup d'entre nous possédons plein d'objets arrivant à obsolescence – ce sont même parfois les industriels qui la programment – et il est parfois à peine moins cher de faire réparer ces objets que d'en racheter un neuf. Mettre en place une incitation à réparer ces produits est donc plutôt une bonne idée ; c'est en tout cas une réflexion qu'il faut engager dans la lignée des travaux de la Convention citoyenne pour le climat. Bien qu'il relève peut-être davantage d'une loi de finances initiale que d'une loi de finances rectificative, cet amendement soulève des questions pertinentes.