Il est identique à celui que vient de défendre Mme Duby-Muller. Nous le présentons dans un souci de cohérence avec l'amendement. Il faut qu'il y ait une véritable diversité, une véritable pluralité de la presse, et je ne vois pas pourquoi certains titres seraient exclus du champ d'application de l'amendement, à cause d'une définition retenue extrêmement limitative. Je pense au Journal des arts, à L'Usine nouvelle ou encore à La France agricole : tous ces titres vont souffrir, souffrent déjà et pourraient disparaître du fait d'un manque de ressources, notamment publicitaires, et d'un décrochage très important de leurs abonnements. Ils font aussi partie de notre patrimoine.