L'essentiel ayant été dit, je serai bref. Il faut simplifier les choses. Or on les avait compliquées puisque cette prime, appréciée des salariés – on le comprend bien – , était accompagnée d'une condition : l'existence d'un accord d'intéressement. Nous avons supprimé cette condition et j'espère qu'il en ira de même pour les années à venir. En outre, cette prime ne pouvait être accordée que jusqu'à la fin août. L'idée est ici que l'entreprise ait la possibilité de poursuivre sa réflexion et d'éventuellement accorder la prime jusqu'à la fin de l'année civile. Cette mesure de bon sens est de nature à tous nous rassembler.