Ce serait d'autant plus légitime que le Sénat ne siégera pas en septembre et qu'il n'y a donc aucune urgence à faire passer un tel texte au forceps en expédiant le débat. Cela ne serait absolument pas respectueux ni de notre assemblée ni de nos concitoyens.
Accepteriez-vous, monsieur le Premier ministre, dans un souci d'apaisement, de concorde et d'union nationale, d'aller dans ce sens, mettant vos actes en accord avec les déclarations que vous avez faites depuis votre nomination ?