Cet amendement tout à fait intéressant pose une question trop peu abordée depuis la fin de l'année dernière.
En mettant, sous prétexte de liberté de choix, les maires face à la responsabilité de décider s'ils passent à quatre jours ou s'ils restent à quatre jours et demi, on a occulté la question de l'intérêt de l'enfant. C'est quand même la fonction du ministère d'envisager les rythmes scolaires du point de vue de l'intérêt de l'enfant.