Par ailleurs, la question n'est pas de savoir si telle ou telle mesure fiscale favorise plutôt l'offre ou la demande. Sur le fond, nous sommes plutôt d'accord : nous partons nous aussi du principe qu'il faut d'abord restaurer l'offre et que nous ne sommes pas confrontés à une véritable crise de demande, même s'il convient probablement de stimuler le redémarrage de la consommation ; nous avons besoin d'une relance par l'offre.