… Votre idée, monsieur Woerth, je la connais : c'est toujours que le travail coûte trop cher. Vous avez votre logique, et vous avez compris que ce n'est pas la nôtre. S'il y a moins de cotisations patronales et salariales, et comme, par ailleurs, l'État ne compensera pas tout – il a commencé à le faire dans le dernier PLFSS – , on ne pourra que demander aux gens de se tourner vers les assurances privées.