Nous avions adopté la taxe sur les CDDU dans un contexte de croissance, avec un taux de chômage de 8,3 % : nous imaginions augmenter nettement le nombre de CDI dans les secteurs concernés. Or la donne a changé, cela a été rappelé sur les différents bancs : la restauration et les traiteurs sont terriblement en souffrance ; quant aux discothèques, n'étant pas encore ouvertes, elles ne sont pas près de bénéficier de l'exonération… Les secteurs tout entiers de l'événementiel, de la culture ou de la filmographie doivent être accompagnés. Il s'agit donc d'un amendement d'actualité, pour les encourager et les aider.