J'ai bien noté la volonté de transparence exprimée par le rapporteur général et le ministre délégué s'agissant de l'insertion de codes NAF dans les listes S1 et S1 bis. C'est important, de même que la grande vigilance et l'attention extrême qu'ils porteront aux secteurs sensibles évoqués.
Je suis plus inquiet pour les entreprises familiales. Député de Bretagne, je pense à des outils industriels comme des abattoirs, des ateliers de découpe ou transformation. Je sais qu'ils sont en grande difficulté et que leur inquiétude est forte. J'imagine très bien ce qu'il peut se passer au mois de septembre ou d'octobre. C'est pour cela que j'insiste et que j'appelle votre attention sur le plafond des 250 salariés. Il y a, en Ille-et-Vilaine ou dans les Côtes-d'Armor, des entreprises familiales qui sont des ateliers de proximité dans lesquels travaillent 280 ou 300 salariés. Ce tissu industriel est précieux et j'aimerais que le Gouvernement examine la question du plafond de 250 salariés avec la plus grande attention.