En appui aux amendements déposés par mes collègues Acquaviva, Dubié et Lassalle, je tiens à souligner les difficultés considérables d'application de ce texte.
Nous parlons ici d'un secteur structurellement en crise, dans lequel des dizaines de milliers de personnes souffrent tous les jours dans leur entreprise et ont des revenus dérisoires. Je voudrais dire un mot de soutien à tous les éleveurs, à tous les producteurs agricoles, qui sont indispensables à la vie quotidienne de chacun d'entre nous et dont on connaît les conditions sociales extrêmement dégradées.
Prendre en considération une perte de 80 % des revenus, pour une grande partie de ces exploitations, ça n'a aucun sens !