Je vous ferai encore la même réponse, madame Louwagie : si la dépendance de ces entreprises aux secteurs de la restauration et de l'hôtellerie est démontrée, alors, en effet, elles doivent elles aussi être exonérées de cotisations patronales. Toutefois, la grande majorité des entreprises de la filière de la confiserie et du chocolat ont continué de travailler et de vendre leurs produits pendant la période de confinement, tout simplement parce que les points de vente étaient toujours ouverts, qu'il s'agisse des boulangeries ou des commerces d'alimentation.
Dans certains cas, il est vrai, ces entreprises ont vu leurs débouchés commerciaux s'interrompre complètement. Une confiserie qui ne travaillerait que pour la restauration mériterait donc, en effet, de figurer sur la liste S1 bis.
Avis défavorable.