La défense du secteur ferroviaire constitue un enjeu majeur. Il convient, en particulier, de s'assurer que les travaux prévus pourront bien être réalisés. Le plan, inscrit dans la loi d'orientation des mobilités, sur la résorption de la saturation des noeuds ferroviaires et sur le développement de transports du quotidien et des voies ferrées appelle des investissements massifs. De surcroît, le Haut Conseil pour le climat a souligné hier que les investissements dans le ferroviaire n'étaient pas à la hauteur des objectifs. Nous devons donc viser plus haut. Enfin, il ne fait pas de doute que les entreprises sous-traitantes du secteur ferroviaire – marchandises, travaux, clientèle – seront touchées par la crise.
Nous sommes donc à la disposition du rapporteur général et du Gouvernement pour travailler, dans les semaines à venir, sur un plan massif en faveur du secteur ferroviaire. Je maintiens l'amendement.