S'agissant de la seule viticulture, ce sont 4,5 milliards d'euros qui ont été versés en salaires, alors qu'il n'y a plus de recettes, plus de ventes dans les cafés, hôtels et restaurants, et plus d'exportations puisque les frontières sont fermées. Il n'y a pas d'égalité entre les secteurs qui dépendent des cafés, hôtels et restaurants ; ce n'est pas vrai !
C'est pourquoi le présent amendement vise à rééquilibrer les choses et à apporter une compensation à ceux qui travaillent le vivant.