Il s'agit d'un travail de vigilance de tous les instants, absolument nécessaire, surtout à l'heure où certains indicateurs tendent à montrer que non seulement l'épidémie n'est pas terminée mais que çà et là des signes de résurgence du virus apparaissent – je pense à la Mayenne et à certains hôpitaux parisiens.
S'agissant des tests, nous atteindrons prochainement la barre des 400 000 ; nous sommes capables d'en effectuer bien davantage, jusqu'à 1 million par semaine s'il le fallait