Notre désaccord est politique : vous faites un choix de mauvaise gestion, puisqu'il aurait été plus utile, du point de vue des finances publiques, de garder cette dette dans le giron de l'État. Surtout, vous choisissez d'augmenter les impôts pour tout le monde au lieu de faire contribuer, comme cela se fait après toute grande crise, ceux qui ont les moyens d'être solidaires. Quatre-vingt-trois millionnaires et milliardaires demandent à être taxés : faisons-leur plaisir !