À chaque occasion dans nos contacts bilatéraux avec les autorités chinoises, le Président de la République, moi-même et d'autres rappelons cette exigence. Nous le faisons également dans les enceintes de l'ONU, telles que les conseils des droits de l'homme, pour appeler les autorités chinoises à mettre un terme aux détentions dans des camps au Xinjiang.
Dans l'immédiat, nous demandons tout simplement à la Chine d'autoriser l'accès de cette zone à des observateurs internationaux indépendants et de permettre à la haute-commissaire des Nations unies aux droits de l'homme de visiter le Xinjiang en toute liberté.