C'est une défaite en rase campagne – au sens littéral du terme. Votre prédécesseur m'avait refusé en février dernier l'organisation d'un débat parlementaire sur le plan stratégique national demandé par l'Union européenne. On comprend maintenant pourquoi : de stratégie, vous n'en avez pas ! Même en matière de traités de libre-échange, vous capitulez en coulisse !