puisque, comme l'a rappelé Éric Woerth, elles sont financées par la dette – , elles aussi doivent renforcer la compétitivité de l'économie. Nous plaidons depuis trois ans pour une baisse des impôts de production, parce que nous savons que, même si c'est financé par de l'endettement à court terme, cela rapportera des recettes à moyen terme. Mais aujourd'hui, monsieur le ministre délégué chargé des comptes publics, vous êtes confronté à une impression d'argent magique ; c'est à un festival de promesses et de dépenses tous azimuts que se livre presque chaque jour le Président de la République.