L'inscription de ce texte à l'ordre du jour a été voulue par votre majorité, monsieur le président : il s'agissait, à l'entendre, d'un texte urgent, prioritaire, nécessaire. Était-il judicieux de l'examiner en cette période estivale ? On peut se poser la question, mais vous l'avez décidé ainsi.
Les députés non inscrits ne peuvent pas demander de suspension de séance. Ils sont à l'heure dans l'hémicycle pour travailler sur ce texte que vous jugez fondamental. Alors, où sont les députés de la majorité ?