Les soignants nous ont dit qu'ils manquaient de lits dans les hôpitaux, qu'il y avait des brancards dans les services d'urgences et qu'en raison des fluctuations de l'activité pendant les épidémies ou pendant les vacances notamment, dans les zones à forte densité de population, ils n'arrivaient plus à soigner correctement les patients. C'est pourquoi nous avons décidé d'ouvrir 4 000 lits à la demande. C'est la première fois depuis plus de quinze ans qu'un tel discours est tenu.