Le Premier ministre nous a dit qu'il fallait restaurer l'équilibre du texte, mais, comme l'a dit M. Brindeau, nous ne jugions pas ce texte équilibré ; il l'était pour vous, pas pour nous. D'ailleurs, revenir au texte adopté en première lecture, vous ne le faites pas vous-mêmes, étant donné que vous avez récrit en commission spéciale l'article 4 consacré à la filiation. Si vous le faisiez, vous balayeriez vos propres travaux. Il conviendrait de conserver un minimum de cohérence ; pour l'instant, je n'en vois guère.