Il est identique. Rétablir cet article serait de nature à rassurer ceux qui s'opposent à ce texte sur le fait que les droits des enfants primeront toujours sur les désirs qui peuvent aller dans le sens contraire.
Mme Buzyn, lorsqu'elle était ministre de la santé, avait d'ailleurs déclaré ici même : « Il n'y a pas, il n'y a jamais eu, et il n'y aura jamais de droit à l'enfant. » Il me paraîtrait naturel de l'écrire clairement dans le texte. L'enfant est un être humain ; il n'est pas un objet mais un sujet de droit. Ce principe doit être réaffirmé pour éviter toute dérive.