Rassurez-vous, chers collègues : je ne vais parler que deux fois pour laisser plus de temps aux collègues de mon groupe. Deux fois deux minutes, ce n'est pas excessif.
Comment avons-nous pu en arriver là ? Ne serions-nous pas face à une France fragmentée et qui se fragmente chaque jour un peu plus, rongée par des questions existentielles que nous avions un peu perdues de vue pendant un certain temps ? Tout ce que nous pouvons faire pour creuser le fossé au sein de ce grand peuple, à travers toutes ces chapelles ou pseudo-chapelles qui s'organisent ici ou là, nous le faisons. Nous n'en ratons pas une !
Lorsque je faisais partie du conseil général des Pyrénées-Atlantiques, j'ai eu la chance de m'occuper des questions d'adoption. Quel bonheur c'était alors d'adopter ! Jusqu'au jour où les réseaux sociaux sont apparus… Depuis, le jeune garçon ou la jeune fille adoptés se demandent, à l'âge de 13 ou 14 ans, pourquoi ils ne sont pas à Saïgon ou à Alger alors qu'ils y sont nés et ils se mettent alors à détester leurs parents.
Le 08/08/2020 à 10:58, Laïc1 a dit :
De toute façon, parler pour un vote joué d'avance, ça n'a aucun intérêt.
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