– Nous ne sommes pas interrogés sur le glyphosate, mais sur les « turpitudes » supposées des agences. On ne peut certes pas traiter de cela, ce n'est pas de notre ressort, mais la méthodologie et la déontologie nous permettent d'entrer dans le sujet. Ne soyons pas trop scientifiques, mais plutôt un peu juristes ! Nous ne commettrons pas d'erreur si nous restons dans le cadre de notre mission.
L'idéal serait peut-être de demander que nous soyons saisis à nouveau, dans des termes plus conformes à celle-ci. Si nous en sortions, en effet, nous nous discréditerions. En étant rigoureux, nous serons utiles.