Il vise lui aussi à ce que la PMA sans père ne soit pas prise en charge par la sécurité sociale : la majorité socialiste précédente, à laquelle un grand nombre d'entre vous appartenait ou qu'un grand nombre d'entre vous soutenait, avait introduit dans la loi la notion d'infertilité sociale, pour bien la distinguer de l'infertilité médicale. Il n'y a pas lieu, conformément à votre logique socialiste de la législature précédente, que des dépenses qui ne sont pas d'ordre médical soient prises en charge par la sécurité sociale.