En toute cohérence, laissons-lui atteindre la majorité pour accéder à ces informations de son propre chef, s'il le souhaite.
Enfin, je défends une conception très stricte du principe d'anonymat entre le donneur et le receveur, qui contraint l'accès aux données non identifiantes. Nous devons préserver l'anonymat, principe central du don dans notre pays. Pour toutes ces raisons, je réitère mon avis défavorable sur ces deux amendements.