En 2009, il a fait lever toutes les contraintes pesant sur les cellules-souches embryonnaires.
L'équilibre, à mon sens, consiste à conserver le même régime pour l'utilisation de l'embryon. Les cellules-souches embryonnaires ont changé, bien entendu, puisqu'elles sont désormais dérivées depuis des dizaines d'années. Il faut simplifier les recherches sur ces cellules.
S'agissant des cellules IPS, on oublie qu'on peut, sous certaines conditions, les amener par exemple à produire des gamètes ; il faut alors en restreindre l'utilisation. Il faut donc des contraintes de certains côtés, des assouplissements d'autres côtés, mais toujours sous le contrôle de l'éthique à la française – objet de vos discussions depuis lundi.