Monsieur Lachaud, vous n'avez pas à répondre à M. Bazin, tout comme lui n'a pas à vous interrompre. Ne lui prêtez pas non plus d'intentions qu'il n'a pas forcément.
Poursuivez donc, afin que nous puissions continuer l'examen du texte : je vous rappelle qu'il est une heure du matin. Si on ne pense pas aux députés, on peut peut-être penser aux agents de l'Assemblée nationale !