Je serai très bref, chers collègues, et même si plus personne ne me croit quand je l'annonce, je tâcherai toutefois de l'être… Je tiens à féliciter la rapporteure : elle travaille avec acharnement, depuis la première lecture, sur des sujets complexes et on ne peut que regretter de devoir les examiner tous les sept ans. Il est non seulement important de raccourcir cet intervalle mais, et là je ne suivrai pas la rapporteure, je suis favorable à la création d'une délégation permanente. La représentation nationale doit en effet se saisir au long cours et au fil de l'eau de l'ensemble des évolutions de la bioéthique.