Je pense pourtant que nous avons mis dans l'examen de ce projet de loi tout le soin, toute la recherche, toute l'attention et tout le travail nécessaires. Nos ministres travaillent sur le texte depuis plus de deux ans ; après les états généraux de la bioéthique et la première lecture qui a eu lieu il y a bientôt un an, il était de bon ton de terminer cette session extraordinaire précisément sur cette loi.
Je suis désolée, mais je ne peux pas vous laisser dire que ce texte a laissé la voie à l'enfant sans père ; ce qui a été rendu possible cette semaine dans cet hémicycle, c'est la famille sans complexes,