Permettez-moi à mon tour de commencer cette ultime intervention sur ce texte en remerciant l'ensemble des parlementaires pour la qualité des débats qui ont animé son examen, s'agissant aussi bien de la dette sociale que de l'autonomie. Je remarque d'ailleurs que le texte en sort enrichi sur ces deux volets.
En premier lieu, outre l'esprit de responsabilité dont vient de parler Paul Christophe et qui nous a permis de transférer 136 milliards d'euros d'une dette sociale qu'il était impossible de laisser en l'état, des amendements visant à renforcer l'information dont nous pourrons disposer s'agissant de la dette sociale ont été adoptés.
L'adoption de l'amendement de Mme Peyrol, d'abord, soutenu par le groupe La République en marche, nous permettra de connaître au mieux l'impact que les mesures contenues dans les PLFSS successifs auront sur le rythme de remboursement de la dette sociale.