Grâce à l'expérience acquise au cours de la première étape de l'expérimentation et de la deuxième étape qui s'ouvre, tous les territoires qui le souhaitent et se donnent les moyens de mettre en place la démarche doivent pouvoir le faire. Il ne doit pas s'agir seulement d'une généralisation de l'expérimentation, telle qu'elle est prévue par la proposition de loi, mais bien d'une pérennisation du dispositif. C'est le sens des échanges que nous avons déjà eus à propos du déplafonnement du nombre des territoires.