Ce type d'amendement – même déposé sur un mauvais véhicule législatif, comme vient de l'indiquer M. le garde des sceaux – montre que le lien entre le CESE et le Parlement est un vrai sujet. Je ne pense pas qu'il doive être réglé par le présent texte, j'en suis d'accord, mais j'appelle l'attention du président Waserman sur ce qui pourrait être fait, au niveau du bureau de l'Assemblée, pour améliorer les choses en cette matière. Cela nous permettrait, par exemple, d'entendre des représentants du CESE en commission et, pourquoi pas, dans l'hémicycle.
Nous avons déjà eu ce débat en commission, et nous ne devons pas nous contenter, ce soir, de voeux pieux : ces nouvelles pratiques, nous devons les inscrire dans le fonctionnement même de notre assemblée.