Monsieur le rapporteur, j'identifie deux problèmes. Tout d'abord, une programmation sur dix ans n'engage que votre majorité, sans engager les suivantes, prévisibles ou non. Ensuite, c'est dès aujourd'hui que le besoin d'un choc pour la recherche se fait sentir. Or la programmation ne monte en puissance qu'à compter de 2023.